photo Métro'folies - Exposition - Etienne Cournault 1891-1948

Métro'folies - Exposition - Etienne Cournault 1891-1948

Exposition, Peinture, Pour enfants

Malzéville 54220

Du 03/05/2025 au 25/05/2025

Étienne Cournault, peintre et expérimentateur de génie, est resté attaché à La Douëra tout au long de sa vie. Pourtant son œuvre n’a jamais été exposée entre ses murs. Après un voyage en Algérie vers 1856, Charles transforme la maison en une villa mauresque, y apportant des objets et des décorations inspirées de ses découvertes. Peintures murales, fresques et autres éléments exotiques ont métamorphosé la maison malzévilloise, créant un lieu unique et riche en influences. Après un passage à Paris dans les années 20, Étienne s’installe définitivement dans la Douëra, faisant de la maison de son enfance non seulement son foyer mais aussi son atelier. La ville de Malzéville et le musée des Beaux-arts de Nancy s’associent pour raviver l’esprit d’Étienne Cournault, dans le lieu qui a vu son épanouissement fleurir, tant personnellement qu’artistiquement. Au travers d’une cinquantaine d’œuvres provenant des collections municipales (Nancy, Malzéville) et de collections particulières, l’exposition vous invite à découvrir la modernité de cet artiste.

photo EXPOSITION D'OEUVRES DE PIERRETTE CORNU

EXPOSITION D'OEUVRES DE PIERRETTE CORNU

Exposition

Nancy 54000

Du 21/01/2022 au 19/02/2022

La Galerie Lillebonne, espace culturel d’art contemporain Présente une exposition d’œuvres de Pierette Cornu Vernissage le vendredi 21 janvier à 18h Pierrette Cornu, le témoignage de l’humanité La zone d’humanité s’engouffre dans ses œuvres selon une certaine violence, peu contenue et débordante pour témoigner avec esthétisme d’une société où la survie de l’homme se fait parfois oublier. « A partir d’un chaos assez indescriptible sur la toile doit surgir quelque chose. » Sa technique mixte utilise le plus souvent l’acrylique et d’infimes corps étrangers tels que des débris, assemblés, collés comme matériaux de départ liant ses personnages à la matière. Son geste débridé, brûlant, vindicatif, informe sur la trace humaine d’un corps et d’un esprit en survie. Dans sa peinture, on ne trouve pas de lignes de fuite ni de perspectives, mais l’affrontement, la superposition, la confrontation. Les traits sont des cicatrices apparentes, les zones visibles des indécisions et des renoncements. Pierrette Cornu efface, fragmente. « Rien n’est jamais sûr, ni définitif ou terminé. Mon trait reflète la vraie vie, celle de personnages inadaptés au rythme délirant de notre société contemporaine.[...]